Le Dispositif Commun, le Protocole Vitale®

Brigitte Vitale, l’initiatrice du concept du “One Stop Shop (guichet unique en anglais) des personnes en difficulté”, est partie d”un constat personnel : lorsque l’individu affronte des problèmes importants il se heurte à un mille-feuille administratif et parfois judiciaire : ainsi ces services publics censés aider le citoyen deviennent des impitoyables machines à achever l’humain.

 

L’humain en difficulté donc est seul, sans un guide constant et compétent …Il cherche ce fil d’Ariane qui le guidera vers la sortie du labyrinthe parfois mortel.

 

Les associations du  Portail 360°,  sont ce fil d’Ariane (guides et coordinateurs).  A ce jour la plus connue est l’Association Aide Entreprise et son observatoire OSDEI, mais d’autres associations apprennent à utiliser le même dispositif de prise en charge centralisé autour de la personne ou de l’entreprise (ou les deux) en difficulté.

 

Ce dispositif  s’articule autour d’un mode opératoire formalisé par étapes  : le Protocole Vitale® régi par sa Charte Commune signée par tous les acteurs du dispositif de prise en charge.

 

L’humain étant vite oublié dans les méandres des procédures administratives et judiciaires, l’idée était donc de remettre cet humain au centre :  pour cela il était nécessaire de mettre à sa disposition :

  • Un interlocuteur unique  : une association coordinatrice qui l’accompagne pas à pas jusqu’à la sortie définitive de ses difficultés et qui peut jouer le rôle de airbag dans les situations les plus stressantes.
  • Un accès à des services juridiques et administratifs à coûts maîtrisés : Liber ACTA, une société mixte avocats et entrepreneurs issue de la Loi Macron, et de mise en relation avec un réseau de professionnels réglementés (avocats, médiateurs, experts divers, etc…)
  • Une garantie  de médiatiser et diffuser par le JEDI Media (une rédaction totalement indépendante avec à sa tête un journaliste d’investigation européen) leur dossier quand celui-ci dépasse tout entendement
  • Une assistance à a recherche et à l’obtention de fonds grâce au Conseil National des Débiteurs pour financer la défense de leurs intérêts (mise en état du dossier, honoraires de professions réglementées non pris en charge par les services de l’état,…)
  • Et pour tous ceux qui possèdent un numéro Siren ou Siret, la possibilité de se faire représenter en justice par un syndicat dont le Secrétaire Général est un avocat (Conseil National des Débiteurs)

L’Observatoire OSDEI centralise toutes les données afin de restituer les statistiques issues de ces appels à l’aide et émet des rapports officiels à destination des institutions publiques et bientôt à disposition des usagers.