Discrimination économique

Suicides, infarctus, accidents de la route ou habitat insalubre : tous les chiffres montrent que les inégalités sociales écrêtent l’espérance de vie des plus modestes.

“Constitue une #discrimination directe la situation dans laquelle, sur le fondement de son origine, de son sexe, de sa situation de famille, de sa grossesse, de son apparence physique, de la particulière vulnérabilité résultant de sa #situation #économique, apparente ou connue de son auteur, de son patronyme, de son lieu de résidence ou de sa domiciliation bancaire, de son état de santé, de sa perte d’autonomie, de son handicap, de ses caractéristiques génétiques, de ses mœurs, de son orientation sexuelle, de son identité de genre, de son âge, de ses opinions politiques, de ses #activités #syndicales, ou #mutualistes, de son exercice d’un mandat électif local, de sa capacité à s’exprimer dans une langue autre que le français, de son appartenance ou de sa non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée, une personne est traitée de manière #moins #favorable qu’une autre ne l’est, ne l’a été ou ne l’aura été dans une #situation #comparable.

Le système gangréné des #faillites évolue depuis des décennies au dessus du #système #judiciaire qui n’a ni les moyens, ni les ressources, ni l’intérêt ou l’envie d’en découdre. Ainsi, dans le #mensonge le plus absolu, les #entrepreneurs avides de méritocratie et de liberté créent et donnent vie à un rêve, dans l’ignorance de ce que qu’entrainera leur moindre #défaillance.

C’est dans ce contexte que seules les #associations peuvent espérer obtenir ce qu’un individu seul ne peut obtenir : la #justice. A l’heure des grèves, des manifestations, des crises, que les médias exploitent pour faire la une et les partis pour se faire élire…. la précarité et la pauvreté sont envoyées dans des voies de garage. Pourtant elles tuent.